Expérience sur les Réseaux Sociaux

Dernièrement, t'as eu un troll dans tes réseaux sociaux. Ha! Ha! Ha! Peux-tu me nommer ? Mario Ostigui. Ah, que je t'aime ! Je trouve ça tellement drôle, tout ce qu'il écrit. C'est niaiseux. C'est n'importe quoi. Il m'a fait traiter de prostituée. Hier, c'était une crise de deine. Pis moi, j'ai 50 ans. Moi, je suis fière d'avoir 50 ans. Je me maquille de moins en moins. Je m'accepte de plus en plus. Je m'assume 300 %.

Il m'a même écrit sur une de mes vidéos, « Hey, franchement, tu pourrais te maquiller avant de faire ton show ? » Pis j'ai fait « voyons donc, à quoi ça sert ? » C'est des haters, tu sais. Je sais pas. À quoi ça sert ? Il vit peut-être dans le sol chez ses parents. Il y a une photo de le personnage, là, mais on sait pas si c'est vrai ou pas. Quand on fait des vidéos, on s'expose à ce genre de troll-là.

On vit ça comment quand ça arrive ? Parce que c'est facile aujourd'hui d'en rire, mais ton cœur te débat-tu, genre ? Non, pas en tout. Tu sais, me faire dire que je suis une prostituée de l'immobilier, on s'entend que je trouve ça plate de recevoir des commentaires comme ça. Mais est-ce que ça me touche personnellement ? Pas vraiment. Probablement parce que ce qui est écrit, c'est pas vrai. Peut-être que tu viendrais chercher quelque chose que je suis vulnérable, ça viendrait me chercher, mais ce qui est écrit, ça a aucun sens pis ça touche pas ma vulnérabilité, fait que ça me touche pas vraiment.

C'est-tu des vidéos qui ont roulé, ceux qui ont commenté ? Oui, c'est ça l'affaire. Fais contenu, Mario, aussi. Mets des affaires. Ce qu'on dit sur les réseaux sociaux, c'est que quand les gens commentent, peu importe si c'est positif, négatif, ça augmente l'algorithme pis on voit les gens qui aiment vont liker, les gens qui aiment pas souvent vont commenter. C'est dommage, mais c'est vrai. Mais là, c'est drôle parce qu'il se fait répondre par d'autres followers, tu sais. Y'a d'autres mondes qui répondent à ces commentaires un peu stupides.